samedi 3 novembre 2012

Chapitre 8 : Le pouvoir d'Ambre

   Retentissement de sonnerie. La fin de la journée. Ça faisait une semaine qu’Angel était repartie et les cours avaient repris. Je me préparais à sortir de la salle. Au moment de franchir la porte, les deux bécasses, Li et Charlotte, fidèles chiens-chiens d'Ambre vinrent me barrer la route.

"Foutez le camp, bande de morues, ou je vous expédie à coups de pieds au cul !
- Si j'étais toi, je ne ferais pas ça...
- Ha, Ambre ! Ta douce voix fluette m'avait tellement manquée
- C'est ça, moque toi. Je t'ai laissé une semaine de répit pour que tu puisses chialer allègrement pour ta copine retournée au pays... Et oui, je suis au courant de tout. Je sais aussi que tu n'as pas quitté Castiel d'une semelle tous les soirs des vacances... Alors que j'avais prévu tant de choses avec lui !
- Pauvre princesse...
- Mon père a les moyens... On est pas tous forcés de vivre dans un appart' aussi miteux que le tiens... Castiel et moi, on est plus proches, ne serait-ce que par la classe sociale, que tu ne le seras jamais.
- T'as qu'à croire ! Maintenant, va te faire foutre, pétasse ! Dégagez ou je vous en colle une !"

Je serrai les poings. Ni une, ni deux, Ambre et sa clique galopèrent à toutes jambes dans le couloirs, en sifflant un "ça se paiera !" que je savais certain. j'allais devoir être sur mes gardes. Telle une furie, je me ruai vers la sortie du lycée, sortant rageusement mes clopes. J'oubliai la récente habitude de rentrer avec Castiel. De toute façon, je ne rentrais pas chez moi tout de suite. Je passais à la boutique de Leigh. J'avais quasiment plus de fric, mais bon, il faisait un petit coin thé donc je rêvais à ce moment-là. En lui racontant les évènements précédents, il finit par m'avertir :

"Fais attention avec Ambre. Elle a réellement les moyens de faire de ta vie un enfer.
- Rien à branler. Je lui refait le portrait quand je veux. 
- Tu ne semble pas saisir, Aya. Cette princesse est réellement choyée par son petit papa PDG d'une entreprise de renommée mondiale. Il m'est déjà arrivé de voir Ambre, sortir en ville, cernée de gardes du corps. Comprends que si elle veut te pourrir la vie, elle le peut !
- ... Je sais. Mais je refuse de me laisser faire par cette grognasse !
- Bon, évite de faire une bourde. Rentre chez toi, prends toi un bon bain dans ta précieuse baignoire. Relaxe-toi, fume tout ton paquet de si ça te chante, mais garde la tête froide. Allez, je ferme boutique. De toute façon, t'as plus une thune à me filer pour un autre thé."

  Il était bien 18h30 lorsque j'arrivai en bas de chez moi. Je notai que j'avais laissé une fenêtre ouverte... Et la lumière ?... Je dévalai les escaliers à toutes jambes. Je mis les clefs dans la serrure. Bien évidemment, cet acte fut inutile. J'avais juste à pousser la porte. Tout était sens dessus dessous. La table était retournée, les chaises réduites en bouillie. Dans ma chambre, le lit était retourné sur le côté, mon matelas, poignardé. Mes placards étaient ouverts, ma table de chevet, dépouillée. Mes fringues, en pagaille, étaient toujours là. En fait, toutes mes affaires étaient là. Ambre avait sûrement envoyé ses gorilles saccager mon appartement, en signe d'avertissement. Quand bien même, je n'avais plus aucun sous. Il fallait racheter les plus gros meubles. J'achevais mon lit à coups de poings. Je vais la tuer. Je pris le temps de me calmer. Il fallait que je trouve où passer la nuit. Je m'allumai une clope et appelai Rosa :

"Désolée, Aya. C'est terrible ce qu'il t'arrive mais je vis avec Leigh et nous recevons déjà des amis venus en vacances ici... Du coup, toutes les places sont prises... Mais, demande donc à Castiel.
- Pas même s'il ne me restait que cette option !
- Oh, allez Aya ! Il est juste de l'autre côté du parc. Je te file son numéro. De toute façon, t'as pas le choix. Les autres vivent plus loin."

Je fus contrainte de prendre le numéro de ce rouquin, qui était plus ou moins responsables de mes problèmes... Bah oui, tiens : qu'il assume ! 

Trois clopes plus tard, je me décidais à l'appeler :

"C'est Aya. Je viens chez toi. Ambre à saccagé mon appart'. C'est de ta faute alors discute pas. Ça m'enchante autant que toi alors, tais-toi. Je viens un point c'est tout... Et ferme ta gueule !
- Mais j'ai encore rien dit..."

Je pris quelques affaires de rechanges, l'unique bouteille d'alcool ayant survécu au crash et filai chez Castiel. Je sonnai à l'interphone. Il était aussi au 5ème étage. Avec ascenseur. Je débouchai sur un long couloir somptueux. je n'eut aucun mal à trouver l'appartement de Castiel : il n'y avat qu'une seule porte. J'y frappai.


Castiel m'ouvrit, l'air grave.

« ça va ? T'as rien ?
- Mais non, mon appart par contre... Je vais devoir racheter pas mal de choses. Je sais pas comment je vais faire...
- tu veux travailler pour moi ?
- Va te faire foutre. Fais moi plutôt entrer. »

La pièce principale était immense, morderne. Sur la droite, deux petites marches descendantes donnaient sur un canapé en forme de demi cercle. Il devait avoir la valeur de mon appartement. Un immense télé ornait le mur du fond. Des aquariums, des plantes de toute sorte venaient apporter à la pièce une atmosphère sereine. La pièce était suffisamment grande pour acceuillir tout ça sans avoir l'impression d'étouffer, au contraire, elle était très aerée. Sur ma gauche, un bar coupait ce longiline espace. La cuisine, équipée des effets les plus hype était superbement volumineuse. Tout l'éclairage était ni trop intense, ni trop faible.
Il me montra sa salle de bain, pour me débarbouiller. J'en restais ébahie. Un sauna ! Il avait un sauna ! Douche massante, baignoire d'angle, bain à remous, il y en avait pour tout les goûts.

De retour dans le salon, il m'invita à venir boire un verre sur son canapé. Je rétorquai que je préfèrais l'assise d'une chaise. Nous nous retrouvâmes alors à boire à son bar... bien trop grand pour nous deux. On sonna à la porte. Un voisin. Il semblait se plaindre :
« Il n'a pas à aller et venir comme ça dans l'immeuble !
- Il va pas rester cloitrer dans cet appart ! Il a besoin d'espace !
- Justement ! Débarrassez-vous en ! Envoyez-le dans une ferme, il y sera plus heureux !
- Il est tout ce que j'ai.
- Vous n'avez pas toujours tenu ce discours Mr. Vous vivez ici seulement parce qu'Il le veut bien ! »
Des aboiements féroces se firent entendre.

« Argh ! Eloignez-le de moi !
- Vous l'avez bien cherché ! Demon ! File à l'intérieur ! »

Je vis un robuste chien noir débouler devant moi et me regarder d'un air interrogateur.

« Demon ! Assis ! C'est une amie. »

Le brave animal s'exécuta dans la seconde. Il le regardait, cherchant une explication à cette intrusion.

« C'est Aya. Elle va dormir ici cette nuit. Aya, je te présente, Demon, mon chien. Désolé pour le tumulte. J'espère que t'en as pas peur.
- J'aime bien les bêtes. Salut Demon ! »

J'eus l'autorisation du chien de le couvrir de caresses.

« Si seulement tu pouvais être aussi douce avec moi...
- Haha ! T'inquiète pas. C'est avec Ambre que je vais être douce comme une fleur demain. Elle perd rien pour attendre ! »

Je lui expliquai ce qu'il s'était passé. Il n'en était pas étonné. Elle faisait ça avec chacune des filles qui avaient, ne serait-ce qu'essayé le cotoyer. On passa la soirée à boire. Déjà tous les deux bien attaqués par l'alcool, j'osai parler du sujet qui me turlupinait depuis un petit moment :

« Dis moi, tu vis tout seul ici ? »

Son visage se renfrognit.

« Si tu ne veux pas en parler, je comprendrais. C'est que j'ai l'impression d'avoir fait une boulette le jour où Angel est arrivée...
- Oh ne t'en fais pas. Mon histoire paraît impréssionante mais au final, c'est l'histoire de beaucoup de gens : Mon père voulait faire de moi son succésseur pour son entreprise. Tu pense bien que j'en avais absolument pas envie. J'étais un petit voyou qui faisait toujours les quatre-cent coups. Enfin, je le suis toujours. Sûrement des séquelles de cette période. Mon père a tenté maintes et maintes fois de me convaincre, me punir, m'acheter. Ma mère est morte il y a longtemps, alors, tu vois, depuis, il n'a plu de voix douce pour le raisonner. J'ai un petit frère, lui aspire à beaucoup plus de grandeur que moi. Il a finit par convaincre mon père de le prendre à ma place. Mais je reste le déshonneur de mon père. Alors, il me paie ce luxueux appart pour que je reste loin de lui et de l'entreprise et me verse de bonnes sommes d'argent pour que je ne cherche pas à le contacter en cas de besoin. Je suis plus ou moins émancipé du coup !... hé ? Qu'est-ce que t'as ? »

Je m'étais mise à pleurer. C'était incontrôlable. Le mépris que j'avais ressentis à l'idée de lui demander de l'aide, c'était complètement volatilisé. Que j'étais bête ! Je me sentais honteuse de venir ici pleurnicher sur Ambre et ses mesquineries.

« J'accepte, dis-je, entre deux sanglots.
- Hein ?
- J'accepte de travailler pour toi. Qu'est-ce que je devrais faire ?
- hé ! Je pensais pas que tu accepterais ! Tu sais, si c'est par rapport à ce que je viens de dire c'est pas la peine de...
- Castiel ! Je devrais faire quoi ?
- Et bien... c'est que... je suis pas très doué en repassage, cuisine et tout ça... Si tu venais... disons... deux jours par semaine, ça irait ?
- T'as pas besoin de plus ?
- T'en fais pas je te paierais bien ! Marché conclu ?
- Marché conclu.... Alors euh... je devrais t'appeler monsieur ? »
Il me lanca son poing dans l'épaule. On contina à boire et à rire ensemble. Demon tentait d'attirer notre attention par des pitreries auquelles je répondais avec entousiasme. Au bout d'un moment, je me sentais tomber de fatigue. Après avoir feinté de s'endormir sur moi, Castiel se résigna à me montrer ma chambre d'ami... L'équivalent d'une suite d'hotel. Un immense lit à baldaquin, pouvant aisément loger quatre personne, m'incitait à le rejoindre. Je m'écroulais sans prendre le temps de m'extasier sur ce qui m'entourait.

Le lendemain matin, je me réveillais. Je mis du temps à me rappeller où j'étais. Sitôt fait, ma rage à l'égard d'Ambre refit surface, plus redoutable que jamais. Castiel m'attendait, café en main. On se prépara et se mit en route pour le lycée. Arrivés aux portes, je cherchai ma cible... Trouvée ! Je fonçai sur Ambre. Elle n'eut pas le temps de tenter quoi que ce soit que je lui avait déjà envoyé un fulgurant poing en pleine figure. Elle vola à terre. Ses amies étaient tellement pétrifiées qu'elles ne vinrent même pas à son secours. Dans la cours, je sentais des regards pétrifiées sur moi. Je me retournai, vis Castiel. Il semblait à la fois admiratif et térrifié. Il avait les bras pendants, ne saisissant pas encore l'impuissance dont il était témoin. J'entendis ensuite des pas affolés venir vers moi. La directrice, rouge de rage courut jusqu'à moi. Elle me gifla. Cela me sembla être un acte incontrôlé. « Dans mon bureau. Tout de suite ». Je m'executai.
J'entendis Ambre murmurer à ses amis « ...combattre le feu par le feu » dont je ne pouvais saisir, à l'heure actuelle, le sens.

« Mlle Ôsaki ! Vous rendez vous compte de ce que vous avez fait ?
- Oui. Je me suis vengée.
- Vengée ?
- Oui, elle a détruit mon appartement.
- Avez-vous des preuves ?
- Non, mais je sais que c'est elle.
- Ha... Mlle Ôsaki... Bon, écoutez, je sais bien qu'Ambre n'est pas une jeune femme facile à vivre. Moi même j'estime parfois qu'elle va trop loin. Mais tout de même, un tel comportement n'est pas tolérable dans cet établissement. Je vais devoir vous expulser pendant une semaine.
- Je m'en fiche ! Je me suis vengée !
- Mais au poing ! Vous n'y allez pas de main morte tout de même ! La vengeance entraine la vengeance... Pensez à vos actes pendant cette semaine d'exclusion. »

Et on me consigna chez moi. J'en profitais donc pour réparer mon appartement. J'avais été contrainte d'accepter une avance de Castiel pour racheter des meubles. Après quelques jours, mon appartement commençait à être même mieux qu'auparavant. Le dernier soir de mon exclusion, un vendredi, je sortis m'acheter de quoi manger. En arrivant en bas de l'immeuble, j'eus le sentiment d'être observée. J’accélérai alors le pas, m'enfoncant dans le parc. Je sentis des ombres courir sur les côtés et aller au devant de moi. Avant même que je n'eus le temps de m'en rendre compte, j'étais cernée. Deux hommes, taillés dans la pierres m'encerclaient. Il n'étaient certainement pas là pour parler tricot. Je me m'y en position de défense :

« Qu'est-ce que vous me voulez ?! C'est Ambre qui vous envoie ? »

Pas de réponse. Ils n'étaient pas là pour ça. Pendant quelques secondes qui me parurent interminables, rien ne se passa. Puis, avec un synchronisation parfaite, ils se jetèrent sur moi. L'un d'eux m'immobilisa les bras. L'autre commença son œuvre. Le premier coup qu'il m'envoya en pleine bouche me fit cracher du sang. Je luttais pour me dégager. Il continuait à me frapper. Mais j'étais certaine qu'il n'y mettait pas toute sa force. Je réussis à envoyer un coup de pied bien placé à l'homme derrière moi. Et de un. J'eus le temps de prendre mon agresseur par surprise et lui adresser un unique coup, me permettant de m'enfuir. Ils se lancèrent à ma poursuite. Je courus jusqu'à l'immeuble de Castiel. La porte était ouverte. Je me ruai dessus sans prendre le temps de la refermer sur moi. Je montai les éscaliers quatre à quatre. Je sentis leurs pas précipités derrière moi. Un étage, deux étages. Je me forçai à ne pas regarder au dessus de mon épaule, ça m'aurait ralenti. Trois étages, ils me rattrapaient. Je commençai à fatiguer sérieusement. Quatre étages, courage, Aya ! Cinq étages, j'ouvris la porte à grand fracas. J'arrivai devant la porte de mon sauveur, entendant toujours les pas des gorilles. Je frappai de toutes mes forces.

Point de vue de Castiel 


Cette soirée aurait pu être plus calme. Je m'étais servi une bière et regardai un concert des Winged Skulls, Demon, la tête posée sur mes jambes. Soudain, il se mit à aboyer avec ferveur en direction de la porte. J'entendis des pas précipités dans le couloirs et quelqu'un frapper violemment à la porte. Je regardai par le judas.

« Mon Dieu ! Aya ! »

J'ouvris la porte illico. Elle se jeta sur moi. Je fermis aussitôt la porte. J'entendis les pas au loin ralentir, puis repartir. Aya était dans mes bras, blessée, meurtrie. Totalement vulnérable...



Et voilà ! On enchaîne directement avec ce chapitre 8, plus long et plus mouvementé. J'espère qu'il vous a plu.
N'hésitez pas à commenter, donner vos impressions.
angelsyouyou

10 commentaires:

  1. Depuis le temps que j'attend tes deux dernier chapitre félicitation ils sont génial ! je te souhaite bon courage pour la suite ! Kiss ;)

    Morgan07 joueuse sur AS

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    1. Merci Morgan !

      Comme tu n'étais pas dans mes amies, je ne savais pas que tu suivais ma fanfic ! :)
      J'espère qu'elle continuera à te plaire... malgré l'irrégularité de mes chapitres ! :D

      Bisous !

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    2. Ne t'inquiète pas tes chapitre me plaise donc le temps a attendre est normale pour un de talent ;)
      Kiss

      Morgan07

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  2. Wow *.*

    Je viens de découvrir ta fanfic via les illustrations de Decay', J'ADOOOOORE. Tu as un sacré talent d'écriture et l'histoire me passionne!

    J'attends avec impatience les prochains chapitres, mais prends tout ton temps ♥.

    Bisouuus, Shtitepuce (AS)

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    1. Bonjour Silver !

      Woaow !! Merci beaucoup ! Tant d'entrain, ça fait énormément plaisir ! *_*

      Je vais essayer de ne pas trop tarder à écrire la suite ! :)

      -je vais de ce pas te chercher sur AS-

      Bisous bisous !

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    2. Hihi, normal d'avoir tant enthousiasme quand on lis une fanfic comme la tienne :D.
      ~ Je t'ai accepté sur AS ~

      Bisous :p

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  3. OHAYOOOOOOOOOOOOOO !!!
    Je nem ce chapitre 8, enfin Ambre se fait refaire la portrait ! *elle en avait bien besoin d'ailleurs.................*
    Bon, pour le prochain chapitre, Demon kidnappe Kiki le chien et demande une rançcon de 2 000 000 de dollars !!!
    Comme ca Aya pourra racheter Sweet Amoris et en faire un buffet a volonté-karaoké-discothèque, elle épousera Castiel et Lady Gaga *vive la polygamie* et Ambre servira de paillasson !!!
    Je sais, mon intelligence n'a d'egal que ma stupidité xDDDDDD
    Je veux TRES RAPIDEMENT la suite, sinon je te crame les cheveux au chalumeau, et sinon, continue comme ca ♥
    Signé : Muchautruche Canari,épouse de Chuck Norris niark niark XD
    Bon, je vais prendre ma piqure, bye byyyyyyyyyyyyyyyyyyyyye !!!

    PS : Je suis si fiere de toi ma petite huitre adorée *émue aux larmes..............................Ca va pas bien non ?! XD*

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    1. haha merci maitresse ! ♥

      Tant d’enthousiasme et de folie ! C'est génial ! :)

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  4. Hum à ce que je voit Ambre veut se venger sur Aya, quelle grande jalouse! J'avoue que son idée de détruire l'appartement d'Aya est assez originale, mais pas si méchante que ça car l'héroine a pû aller chez Castiel et être en sécurité. La scène de la baguare entre elle et Ambre m'a bien fait rire, celle avec les agreseurs m'a fait peur c'étais terrifiant O-O Une chance que le rebelle est là pour elle, sa vie n'est pas facile la pauvre. J'ai trouvée ça adorable quand il lui raconte son histoire sur son passé, c'est mignon de se confier à une fille de cette façon et son côté doux ressort le rendant encore plus adorable XD J'aimes le caractère que tu lui donne, bravo pour cette idée de génie. La suite promet d'être intéressante, attends-toi d'autre commentaires de ma part.

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